Le GOSHINDO

Programme d'initiation au GOSHINDO

2 cours individuels + 1 cours collectif + le kimono

Pour 19.95€ seulement !!!

Le GOSHINDO, étymologiquement : la voie de la protection du corps, est le fruit d'une recherche permanente de Kyoshi A.SAILLY. Dés son plus jeune âge, il fut un adepte inconditionnel des Arts-Martiaux. Les grands pratiquants qu'il fut amené à côtoyer et un sens aigu du combat, l'amenèrent à entreprendre une réflexion poussée sur la voie de l'affrontement vrai, tel que put l'être celui des samouraïs, mais adapté aux réalités nouvelles du monde moderne. Si l'Art Martial traditionnel demeure une source intarissable d'enseignements moraux qu'il convient de conserver et apporte une grande part du savoir nécessaire sur les techniques de base, il faut bien convenir que l'esprit du combat à évolué avec les époques et qu'il est devenu, par souci de vérité, primordial de s'y adapter. C'est donc en conservant les acquis de la tradition et en y ajoutant le fruits de ses recherches, que Kyoshi A.SAILLY a mené à bien les trois grandes étapes de la création du GOSHINDO jusque sa forme de pratique actuelle.

Etape I :
Jusqu'en 1978, il s'agit d'étudier un Art Martial dit traditionnel, d'origine japonaise, qui s'apparenterait ; d'une part, à l'école Hakko Ryu Ju Jitsu, et d'autre part, à l'école Daytoryu. Le premier constat fut qu'il manquait une recherche optimale de l'utilisation du corps dans l'art du combat. Il fallait donc rechercher d'autres formes de techniques, d'autres approches de la self-défence. En effet, nous sommes à même de constater que les formes de projections, par exemple, utilisées en Judo, en Sambo ou dans d'autres styles de Ju Jitsu, sont adaptées, mais aussi complémentaires entre elles. Il en est pareillement pour les formes frappées, les clefs, les contrôles, etc.…

Etape II :
De 1978 à 1989, ce sont dix années de travail qui vont être utiles à la mise en place de la forme initiale du GOSHINDO. A travers les voyages, les rencontres de différents professeurs de différents styles, vont permettre de synthétiser et de sélectionner un très large éventail de techniques, en refusant de se laisser bloquer dans un courant particulier. Le GOSHINDO est donc, dés lors, un Art Martial en constante évolution. Il devient le reflet de " la mondialisation des Arts-Martiaux ".

Etape III :
A partir de 1989, le but va être d'optimiser chaque technique et d'en développer l'aspect pédagogique pour une pratique par tous en trois points essentiels :
• La recherche d'une forme harmonieuse, qui peut permettre l'épanouissement de l'individu.
• La recherche d'une forme efficace, qui peut permettre d'affronter les situations conflictuelles.
• La recherche d'une forme esthétique, qui peut permettre de protéger son corps en aidant à trouver les positions adéquates. Ces trois facteurs contribuent, dans leur globalité ou indépendamment les uns des autres, à ce que chaque individu puisse trouver son intérêt propre à la pratique du GOSHINDO.
Toute cette recherche fut élaborée pour exprimer la voie de la protection du corps dans le contexte moderne. Cette voie de la protection du corps est aussi celle de l'individu et n'est pas exhaustive au corps en particulier. Elle s'adresse également à l'aspect mental, physique et spirituel, en ayant pour seul but l'épanouissement de chacun.

Au delà d'une efficacité indéniable, le GOSHINDO est donc également un moyen d'éducation complète :
• Corporelle, par l'importance de la formation physique, le développement physique général du corps ( renforcement ligamentaire, musculaire … ), le développement des grandes fonctions physiologiques ( cardiaques, respiratoires … ), le développement des qualités neuro-motrices.

• Caractérielle, par l'habitude de l'effort volontaire et l'élimination des appréhensions.

• Mentale, par l'élargissement d'esprit apporté par la discipline intellectuelle que demande la pratique, par la sincérité obligatoire envers soi-même, par la mise en action globale de son énergie, par l'économie de cette énergie due à son emploi judicieux, par la variété des techniques.

• Sociale, par la libération des instincts primaires, par une canalisation de l'agressivité et une transformation en désir de maîtrise, par la sincérité obligatoire envers les autres, par l'élimination de la méfiance qui entraîne le facteur de non violence, par le respect et l'entraide mutuelle.

 

Les différents grades (par ordre d'évolution) :

Blanche

Jaune

Orange

Verte

Bleue

Violette

Marron

Noire (Sensei)

Rouge et noire (Renshi)

Rouge et blanche (Kioshy)

Rouge (Kioshy)